Infolettre du Père Vimard dimanche 3 octobre

INFO LETTRE 3 Octobre (1)

Chers amis,

Le pré fixe RE, Je recommence cette infolettre avec un peu de grammaire :
« Ce n ‘est pas commencer qui est admirable, c’est le fait de re-commencer.
Ce n’est pas partir qui est admirable, c’est le fait de re- partir !
de re-donner sa confiance, de re-prendre le combat contre pentes et petits défauts afin de re-fonder la communion.
Aimer se logerait-il dans le petit préfixe RE ? »

Après le Synode des évêques de l’Eglise universelle sur les jeunes, celui de l’Amazonie, et
celui sur la famille. Il y aura, en 2022, celui sur la synodalité.
Cette structure de l’Eglise fut établie par le Pape Paul VI en 1965 au moment du Concile
Vatican II. Elle était voulue comme une expression et une mise en pratique « du collège épiscopal » :
l’ensemble des évêques de l’Eglise sont collégialement responsables de la vie de toute l’Eglise sous
la primauté de l’évêque de Rome.
Le concile proclame que « le Peuple de Dieu est constitué de tous les baptisés et que la
collectivité des fidèles ayant reçu l’onction qui vient du Saint, ne peut se tromper dans la foi lorsque,
des évêques jusqu’aux derniers des fidèles laïcs, elle apporte aux vérités concernant la foi et les
mœurs un consentement universel. »
Dans un discours plus récent, 17 Octobre 2015, le pape François disait :
« Nous devons avancer sur ce chemin. Le monde dans lequel nous vivons et que nous sommes
appelés à aimer et à servir même dans ses contradictions, exige de l’Eglise le renforcement des
synergies dans tous les domaines de sa mission. Le chemin de la synodalité est justement celui que
Dieu attend de l’Eglise du troisième millénaire. ».