Au service du sanctuaire

Jean-Pierre Briard et Olivier Valentin sont récemment arrivés au service du sanctuaire de Lisieux. Ils se présentent succinctement.

Jean-Pierre Briard

Marié avec Agnès depuis plus de 35 ans, nous avons cinq enfants en activités professionnelles pour trois d’entre eux. J’ai travaillé 23 ans dans la grande distribution, chez Promodès puis Carrefour, sur des projets internationaux d’organisation et de systèmes d’information. 23 ans riches de rencontres, de découvertes de pays et de travail avec des équipes multiculturelles, pour piloter dans les magasins et dans les sièges sociaux, des projets à forts enjeux pour le groupe. Chemin faisant, en Église, avec la Communauté du Chemin Neuf, à travers la formation diaconale (j’ai été ordonné diacre en 2018), et bien d’autres événements, j’ai décidé de quitter la grande distribution, pour en 2015, aller diriger le centre spirituel de La Roche du Theil en Bretagne. J’y suis arrivé avec le désir de me mettre au service des Hommes et de l’Église. C’est dans cet état d’esprit que j’arrive au Sanctuaire de Lisieux comme économe. Heureux de rejoindre ce beau sanctuaire au service des pèlerins, et heureux aussi de rejoindre « ma Normandie ». En effet, je suis né près de Saint-Lô dans la Manche. Cette nouvelle mission au sanctuaire est aussi pour moi l’occasion de retrouver mes racines, de me rapprocher de la famille et des amis normands.

Olivier Valentin

49 ans, marié et père de trois enfants, de formation école de commerce en marketing et gouvernance des organisations, j’ai un parcours professionnel de 25 ans en management de projets événementiels, stratégie de communication multimédia et animation de réseaux, initialement en tant que créateur d’entreprises puis pendant 8 ans comme responsable des relations bénévoles/salariés dans une fédération professionnelle de l’Enseignement catholique. Aujourd’hui, je suis très heureux de rejoindre la belle équipe du Sanctuaire Sainte-Thérèse de Lisieux en tant que directeur de la communication, du développement et de l’offre pastorale pour me faire petite voix de la « petite voie » et contribuer ainsi au rayonnement de sainte Thérèse et de la famille Martin qui nous appellent à « devenir de grands saints ».

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